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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 20:34

Pas la ville où le noir est couleur, attention, mais Porto, la bouteille qu'il est parfois agréable de s'en servir un petit verre !

 

Pourquoi ?


Parce que :

  • mon BlackBerry n'arrive plus à envoyer d'e-mails,
  • je ne comprends rien à ce satané dossier qu'il va pourtant bien falloir boucler demain,
  • je n'ai pas trouvé les verres a vin de mes rêves dans les trois magasins Habitat que j'ai faits (alors qu'ils figurent sur leur site internet, wahou l'arnaque),
  • j'ai perdu mon temps a aller dans trois magasins Habitat alors que j'aurais pu avancer mon satané dossier en envoyant des mails depuis mon ordinateur,


Et le must : ma belle lettre avec plein de papiers justificatifs, ils ne l'ont jamais reçue aux Impôts (mon oeil ! m'a dit ma cobureau qui ne s'en laisse pas compter).

Mais bon, je serais assez mal venue de me plaindre avec la chance que j'ai eue aujourd'hui.

 

C'est vrai quoi, j'ai quand même réussi à avoir une place assise pendant TOUT mon trajet en métro, rien que ça !!!

 

(Toujours voir le verre à moitié plein, toujours voir le verre à moitié plein...)

 

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9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 10:12

... j'ai répondu à ma cobureau, quand elle m'a demandé - fort indiscrètement - ce que je comptais faire de mon week-end.

 

Un estaminet ???!", elle s'est exclamée en ouvrant de grands yeux tous ronds qui signifiaient quelque chose du genre "mais quelle langue es-tu donc en train de me parler là ma chère ?".


Moi, j'étais très contente d'avoir réussi à caser un joli mot qui fait moins ch'ti que fin connaisseur des plaisirs gastronomiques d'une région méconnue (j'évite autant que faire se peut de parler de wassingue à d'authentiques parisiens, ce qui ne me demande en fait pas trop d'efforts vu que les serpillères ne constituent pas, à ce jour, mon sujet fétiche de conversation).

Mais il n'empêche que je me suis trouvée un peu prise au dépourvu par la question qui m'était posée...

Il faut dire que normalement, elle aurait dû faire "Un estaminet ? Trop sympa ta soirée !" de l'air de la fille pour qui ce genre d'établissement n'a pas de secret, comme je fais moi-même à chaque fois que je ne connais pas quelque chose, ce qui m'évite de révéler une potentielle énorme lacune culturelle de ma part (par exemple le fait qu'il y a moins d'un an, je pensais que Manhattan était une ville).

Après un temps d'intense réflexion cérébrale, j'ai expliqué du ton le plus assuré possible : "alors, tu vois, un estaminet, c'est un endroit où tu manges et où tu bois des bonnes choses typiques du Nord, dans une atmosphère un peu rustique du Nord".

Et je suis vite, vite, allée vérifier sur internet si je n'avais pas sorti une trop grosse bêtise (comme la fois ou j'ai expliqué que le squash était une activité nautique).

Heureusement, il s'est avéré que cette fois, je n'étais pas trop loin de la réalité...

 

Comme quoi, ce n'est pas toujours facile d'avoir l'air intelligent dans la vie.

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4 octobre 2011 2 04 /10 /octobre /2011 21:03

S'il y a une chose que mes parents ont eu à cœur de m'apprendre dans la vie, c'est de savoir dire "merci". 

 

Ca n'a l'air de rien comme ça, mais en fait, comme personne ne naît avec ce mot-là à la bouche (aussi parce qu'en général le nourrisson ne sait pas parler), la maîtrise du remerciement nécessite un long et pénible apprentissage.

 

"DIS MERCI au pédophile à la coiffeuse pour le bonbon", "DIS MERCI à l'Oncle Joey pour le pin's mochissime offert avec son paquet de cordons bleus Lidl", "DIS MERCI à Tatie Flo d'avoir récupéré la cagoule que tu avais discrètement tenté de jeter à la poubelle""DIS MERCI à maman de prendre de son temps pour te faire faire des dictées supplémentaires le soir après l'école pendant que les autres enfants s'amusent", etc. 

 

Et puis, un beau jour, on finit par acquérir le réflexe.

 

Le "merci" arrive sans crier gare : sans même qu'on s'en aperçoive, il est déjà là. 

 

"MERCI patron d'avoir pris le temps de m'expliquer un truc que je n'avais pas compris parce que tu me l'avais mal expliqué", "MERCI la dame de la mairie de m'avoir laissé faire 3 heures de queue pour me dire que maintenant il faut un extrait d'acte de naissance en plus de la carte d'identité pour renouveler son passeport", "MERCI le monsieur de chez France Telecom d'être passé le matin, en mon absence, alors qu'il était convenu que vous passeriez l'après-midi pendant ma demi journée de congé", etc.

 

Mais là, un gros dilemme (avec 2 "M" s'il vous plaît, MERCI bien) se pose à moi : "merci" ou pas "merci" ??!

 

J'ai tout dernièrement reçu trois petites cuillères en argent, envoyées par ma Grand-Mère à titre de "souvenir de famille".

 

Il faut dire qu'elles sont gravées aux initiales de feu l'Oncle Bachills, et que sa femme, Tante Cézanne (dont vous pouvez toujours contempler le buste sculpté au musée de Grenoble si cela vous chante), qui s'était fait remarquer en son temps pour son absence totale de scrupules à être entretenue par une foule d'hommes autres que son mari, s'en est sans doute servie pour mélanger du sucre à son café.

 

Comprenez : ces 3 petites cuillères, c'est un peu le vestige de l'honneur (???) perdu de la famille.


cuillères

 

Etant donné :

- le passif de cette dame,

- le nombre restreint des petites cuillère en question,

- leur état douteux,

- leur manque total d'harmonie avec mes tasses low cost de chez Maisons du monde,

- le désintérêt relatif de ma grand-mère à mon égard,


suis-je donc vraiment tenue de REMERCIER ? 

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9 septembre 2011 5 09 /09 /septembre /2011 00:40

C'est ce que j'ai appris hier par mes parents, qui en avaient été eux-mêmes informés environ une heure avant, via le mail mensuel de ma tante (la mère de la mariée, ndlr)

Si j'avais été un peu plus attentive, j'aurais certes pu deviner un peu plus tôt qu'il se tramait quelque chose du côté de la bénédiction républicaine de l'union conjugale.


Il aurait tout simplement suffi que je jette un bref coup d'oeil sur le wall de Marine. 

Je me serais alors rendue compte que le 17 août dernier, une de nos cousines communes lui avait laissé un petit message, fort sympathique ma foi, qui m'aurait mis, je crois, la puce à l'oreille :

« bonne fete Marine!!!!!!!!! ♥♥♥♥ desolee du retard,
je pense bien a toi... bientot le grand jour!!! » 

(attention, contrairement à ce que vous pourriez penser, l'auteur de ce message a plus de 30 ans : le style kikoulol n'est pas le monopole de l'âge ingrat)

Mais comme je suis assez peu assidue sur facebook en ce moment (il faut dire qu'entre l'Amour est dans le préMasterchef et Koh Lanta, mon temps est compté), je suis totalement passée à côté de l'information... 

Et c'est bien dommage ! Parce que sinon, je prenais le premier vol pour Rome (où habite depuis toujours ma cousine Marine), et je tentais une incursion surprise à la noce, où je me serais fait un plaisir de divertir tout le monde ! 

Mais bon, tant pis, tant pis, ce sera pour une autre fois...

(Dites, vous croyez qu'ils ont eu des échos du scandale que j'ai fait au dernier mariage auquel j'ai été invitée, quand le bouquet lancé par la mariée m'a échappé, ou bien le faire-part s'est vraiment perdu ?)
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3 septembre 2011 6 03 /09 /septembre /2011 09:02

N'allez pas croire que je suis par principe opposée à tout mélange des cultures. 

 

De nos cousins turcs, par exemple, j'apprécie beaucoup de choses, à commencer par leurs loukoums (même si la petite polyneuropathie diabétique qui attend son heure, tapie au fond de la boîte  la fourbe , je l'apprécie, elle, déjà beaucoup moins).

 

 

Mais de là à adopter sans discernement n'importe quelle excentricité, au seul prétexte qu'elle nous vient de l'étranger, il y a définitivement plus qu'un pas. 


Et c'est là que les WC à la turque font leur entrée (TADAM !).

 

J'y pense, parce qu'à mon retour de vacances, j'ai été contrainte de subir ce type d'installation sanitaire (au risque de briser le rêve). 


Nul besoin de vous faire un dessin. 


Vous entrez dans la cabine, vous avez encore la sensation de propreté et de fraîcheur de votre douche matinale. 


Vous en ressortez avec la désagréable impression d'avoir crapahuté une journée entière dans une fosse septique. 


C'est à peine si vous osez ensuite remonter dans votre voiture de peur qu'elle ne s'imprègne elle aussi de l'état de saleté qui vous colle à la peau (mais il faut bien, parce que sinon, vous resteriez bloqué sur cette maudite aire d'autoroute et il y a fort à parier qu'au bout d'un petit moment, la nécessité se ferait à nouveau sentir de repasser par la case WC à la turque...). 


D'où ma légitime interrogation devant tant de désagréments : pourquoi à l'heure des écrans 3D et des tablettes tactiles, les sociétés d'exploitation d'autoroute s'acharnent-elles à pourrir nos trajets en maintenant de telles installations sanitaires ?

 

De trois choses l'une : 

  • soit les stations service rémunèrent de façon occulte les sociétés d'exploitation autoroutières pour être bien sûres d'être les seules à offrir des WC praticables au conducteur pris d'une envie pressante, de façon à l'avoir ensuite sous la main pour lui refourguer tout un tas de barres chocolatées, de chips et de bonbons à l'anis,
  • soit le type chargé de coordonner les différents services d'hygiène et de sécurité des sociétés d'exploitation d'autoroute est persuadé – contrairement à son homologue des stations service – que les cuvettes de WC sont des nids à microbes à éviter à tout prix (alors que tout le monde sait bien que les cuvettes de WC sont moins sales que les téléphones portables),
  • soit les sociétés d'exploitation d'autoroute sont gérées par des extraterrestres qui, n'étant pas soumis aux mêmes contraintes physiologiques que nous autres, humbles êtres humains, n'ont pas conscience des problèmes aigus soulevés par les WC à la turque.

 

Ce qui est sûr, en tout cas, c'est que comme un malheur ne vient jamais seul, dans les deux WC à la turque que j'ai testés pour vous cet été, il n'y avait pas non plus de savon pour se laver les mains.

 

Ceci dit, il y a certaines personnes que ça n'a pas l'air de déranger plus que ça...

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1 septembre 2011 4 01 /09 /septembre /2011 00:20

Et bien évidemment, je ne sais pas qui c'est. 

 

Je ne sais pas non plus pourquoi d'ailleurs. 

 

Est-ce que ma photo de profil lui a fait peur ? Ai-je omis de liker son tout dernier statut ? Ai-je laissé sur son wall un commentaire inapproprié ? L'ai-je tagué sur une photo compromettante ? Me suis-je fait dernièrement un nouvel ami qui ne lui a pas plu ? A-t-il pris ombrage de l'éclatante réussite sociale dont témoigne mon profil ? 

 

Autant de questions qui resteront sans doute sans réponse, puisque cet ex-ami ne m'a laissé aucun message d'adieu.

 

C'est bien triste de voir ce qu'est devenue l'amitié de nos jours. 

 

Pourtant, la vie continue. Il faut trouver la force de rebondir coûte que coûte. 

 

Si je ne veux pas risquer d'avoir davantage de sorties que d'entrées ce mois-ci, au risque de passer sous la barre des 200 amis (Bouh la honte !, comme dirait ma copine Blonde), j'ai intérêt à réagir en m'inscrivant illico à la première association venue composée d'au moins 10 adhérents facebook

 

Vous pensez quoi d'un atelier poterie ?

 

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10 août 2011 3 10 /08 /août /2011 21:44

Dimanche soir, comme presque chaque fin de semaine, j’ai pris le train pour rentrer à Paris après avoir passé le week-end chez monPapa et maMaman (je sais, c’est choquant mais c’est comme ça).

En général, je ne trouve pas ça trop désagréable parce que :

 1- j’ai passé un très bon week-end et que les meilleures choses ont une fin,

2- je vais passer une très bonne semaine, et que les meilleures choses ont aussi un début,

3- je rentre avec mon frérot, et que je dispose ainsi d'une bonne âme pour écouter mon babillage 1 heure durant (parce que quand on est assis a côté d’un inconnu, il arrive parfois qu’il écoute son Ipod, et moi, je n’aime pas trop parler sur fond musical, surtout quand c’est du R’n'B).

Et là, ce dimanche, j’avais certes passé un très bon week-end (j’avais mangé des rollmops et écouté Les moulins de mon coeur de Michel Legrand), je savais bien que j’allais également passer une excellente semaine (j’avais prévu d’aller faire des courses dans mon Monoprix le mardi), mais, gros point noir :

MON FREROT N'ETAIT PAS AVEC MOI POUR LE VOYAGE DU RETOUR.

Il avait apparemment décidé de prendre son indépendance familiale pour le week-end et m’avait ainsi lâchement abandonnée.

Résultat : je n'ai parlé à âme qui vive de toute l'heure du trajet de retour... 

Même pas de voisin – avec ou sans Ipod – à qui faire profiter de mon charmant babil : le TGV était quasi-vide.

Et quant à la gare, mis a part un groupe de gros touristes beaufs, et 2 autres JP* sans vacances comme moi, il n’y avait absolument PERSONNE.

C’était limite la SINISTROSE. 

Heureusement que j’ai pu me consoler en me disant que dès le lendemain, j’allais retrouver au bureau les quelques "survivors" du mois d'août, et que je pourrais leur raconter en détail les points saillants de mon week-end, à commencer par les rollmops et Les moulins de mon coeur de Michel Legrand.

* JP : jeunes pro

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24 juillet 2011 7 24 /07 /juillet /2011 08:54

… vous ne trouvez pas bizarre que le seul endroit où il fasse moche aujourd’hui en France, soit précisément celui où je me trouve ?

Avouez quand même qu’il y a de quoi être perturbé. A croire que c’est mon pire ennemi qui assure en ce moment l’intérim de la météo !

Je vous laisse, je vais écrire à Météo France pour leur demander quelques explications.

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 12:23

Enfin, à franchement parler – et tant pis pour le risque de représailles de la RATP -, le métro, c’est SURTOUT très répétitif.

Mais faut-il vraiment s’en étonner lorsque l’on pratique ce mode de transport minimum 5 fois par semaine, à la même heure, pour effectuer le même trajet, avec le même changement, en compagnie de la même sorte de gens pas vraiment engageants ?

A vrai dire, au bout de quelques mois d’un pareil régime, même le spectacle du petit lapin jaune qui se fait coincer les doigts « très fort » dans les portes du métro – tout simplement parce qu’avec son QI de lapin, il n’a pas compris qu’elles étaient coulissantes –, finit par vous laisser de marbre.

Et vous en arrivez à guetter le moindre signe de changement comme une bouffée d’oxygène inespérée dans un monde saturé d’habitude (et moite qui plus est).

Une nouvelle affiche sur les murs de votre station  vous met déjà dans un état de fébrilité difficile à dissimuler (tremblement des mains, contractions involontaires du menton, jambes flageolantes, etc.).

L’arrivée dans votre wagon d’un représentant de la tranche d’âge des 0-7 ans – dit un « enfant » –, vous fait presque frôler l’arrêt cardiaque de saisissement (depuis le temps, vous aviez presque oublié que ça existait).

Et puis il y a ces jours bénis, trop rares hélas, où vous avez la chance d’assister en direct à un évènement aussi inattendu qu’une absence de panne du distributeur automatique de timbres de la Poste, le jour où il y a une queue de 25 personnes au guichet.

Moi, une fois, il m’a été donné de vivre un pareil moment, et depuis, je m’estime tenue d’un véritable devoir de mémoire envers l’ensemble des usagers du service public, et notamment ceux qui lisent ce blog (ce qui correspond en réalité à la grande majorité des usagers du service public).

C’est l’histoire d’une fille normale, qui un jour est entrée dans un wagon normal (mon wagon), à l’heure de pointe (rien de plus normal).

Ce qui a été moins normal, c’est que son sac s’est mis à goutter (en général les sacs ne gouttent pas, sauf quand il pleut, ce qui n’arrive a priori jamais dans le métro).

J’aurais certes pu attirer son attention sur cet étrange phénomène dès que je m’en suis rendue compte, ce qui lui aurait permis d’extraire sa bouteille de coca mal fermée une minute plus tôt.

Mais outre que la réserve est de mise face à une situation inexpliquée potentiellement paranormale, une telle intervention m’aurait privée du rafraîchissant spectacle de personnes d’allure très professionnelle, en costume ou tailleur, mallette à la main, sautillant pour tâcher d’éviter les coulées de coca sur le sol.

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15 juillet 2011 5 15 /07 /juillet /2011 08:58

Je dois écouter The english riviera de Metronomy.

Mais attention, pas n'importe comment ! Pas en dilettante ou en touriste du disque, cette sorte de gens dépourvue de tout respect à l’égard de l’Artiste, qui se permet de suspendre au gré de ses envies et de ses besoins les plus triviaux l’écoute d’un morceau.

Cet album, je dois l’écouter EN ENTIER, SANS INTERRUPTION, et SELON L’ORDRE PRECIS figurant sur la jaquette.

Et pas la peine que je me pointe demain au travail si je n’ai pas en main un compte-rendu détaillé – et nécessairement favorable – des impressions suscitées chez moi par ce disque.

La fan-attitude de ma cobureau peut parfois sembler un peu envahissante.

Mais c’est le prix à payer si je veux qu’elle me prête son livre des recettes inavouables, et que j’apprenne comment faire un excellent crumble de sardines avec mon dernier paquet de TUC(s).

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Qui Je Suis ?

  • : Extraits de Ginger
  • : Vous êtes sûr que vous voulez le savoir ? Je n'ai ni super-pouvoirs, ni incroyable talent. Je ressemble sans doute à beaucoup d'autres filles blondes aux yeux bleus, à cela près, peut-être, qu'elles n'ont pas encore forcément osé consigner dans un blog à la fois superficiel et parfaitement inutile ces multiples anecdotes qui composent leur quotidien et les pensées baroques qu'elles leur inspirent. A raison... ?
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